la borne frontière

Nous nous approchons, et j’aperçois de loin la catastrophe : au bord de la piste, une petite colonne de pierre, d’environ deux mètres de hauteur, qui ne peut être qu’une borne ! Une borne en plein désert. Nous longeons maintenant le lac. En cette saison, son eau s’évapore et s’éloigne des rives. Après quelques dizaines de mètres, voici la borne devant laquelle s’arrêtent les deux 4 × 4. Face à nous, elle porte gravée en arabe le mot Misr (Égypte) et de l’autre côté, Libia, en italien et en arabe. On ne peut être plus clair. (p.130)

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